Bon moa, je préfère le dire de suite, je suis Yaoïste et j'aime ça ^^
le twc je kiffe, et j'assume (même des fois trop ^^)
il se trouve que j'en écris aussi ^^je sais pas si je trouverais des amateur (trices) ici, mais on verra, si oui, je posterais tous les écris a fur et a mesure ^^
je commence par poster les nuls ensuite les bien ^^
celui la est donc nul.
Il m'a été demandé par une copine, donc sujet imposer TUS (donc tu TOM/GUTAV)
Allez encore dix, courage mon gars, tu peux le faire, t'en as déjà fait quarante...
Et puis pense à ce qu'il va dire, quand tes efforts auront payé.
Quand tu ressembleras enfin à autre chose qu'une crevette toute blanche, quand il pourra redessiner tes abdos, quand tes bras seront aussi musclés que les siens...
Allez plus que deux... Et puis dix kilos, c'est pas la mort, pense à tous ceux qui en soulèvent trois fois plus que toi.
Voilà, c'est fini, tu peux être fier de toi.
Maintenant, tu t'hydrates pour ne pas avoir de courbatures demain et tu restes allongé cinq minutes sous ta barre, histoire de récupérer.
Regarde tous ces mecs autours de toi, dis-toi qu'un jour, enfin avec beaucoup de chance, tu pourras ressembler à ça. Bon pas forcément à cette armoire à glace là-bas, qui fait trois fois ta taille et dont le tour de bras est cent fois supérieur au tien, mais si la musculation pouvait te réussir ce serait pas mal.
Je crois que mes efforts commencent à porter leurs fruits, je suis déjà mieux foutu que Bill, et j'en suis fier, lui en est même un peu jaloux. Mais c'est sa faute, il n’a qu'à venir avec moi, souffrir, et suer comme moi, et lui aussi il aurait un corps de rêve, mais monsieur, pense que la musculation, ce n’est que pour les mecs en manque de virilité qui cherchent à séduire, et de toute façon monsieur aurait trop peur de se casser un ongle ou de se prendre une barre de poids sur le torse et de mourir écrasé. Du coup, je viens là tout seul, le plus souvent possible, c'est-à-dire pas assez souvent, vu qu’on ne passe pas notre vie à Hambourg et que ma salle de sport est là-bas.
Bon treize heures, il faut que je rentre, je prendrai ma douche à l'appart', parce que je n'aime pas me mettre à poil dans les douches collectives, de plus je suis célèbre, sait-on jamais le nombre d'appareil photos qui peuvent traîner. Il ne faudrait pas que mon sublime corps (je rêve un peu trop, je sais) nu et dégoulinant de savon se retrouve en première page.
En pensant à Bill. Je suis certain qu’il va encore gueuler que je suis trop crade et qu'en plus je pollue avec ma sale caisse de merde (là aussi il est jaloux que j'ai une caisse et le permis et pas lui, mais c'est moi le grand frère, normal que je soit le premier à tout faire) mais j’m’en fiche, j'ai l'habitude qu'il me hurle dessus, et puis il ne peut pas comprendre.
Tom avait à peine franchi la porte de l’appartement qu’il partageait avec les autres membres du groupe, qu’il se retrouva violement écrasé contre le mur, le visage plaqué contre le mur blanc. Une voix sensuelle et emplie de désir qui lui murmure à l’oreille :
- Je t’attendais … mmmm….. Cette odeur de sueur, d’effort physique que tu as fait pour moi, pour me plaire, ça me rend fou… Complètement fou … de toi…
Tom frissonna, il était déjà dur. Seul un être était capable de lui faire cet effet.
Il sentait deux mains puissantes lui caresser les flans …
- Je suis jaloux… Jaloux de chaque goutte de sueur qui dévale ton corps, qui goûte ton goût, qui te touche, qui s’introduit là où je ne le peux pas. Elles te touchent et pas moi.
Gustav se rapproche encore de Tom, et il put ainsi sentir l’érection du blond contre ses fesses.
- Tom, je vais te baiser, là, tout de suite, contre le mur …
Tom gémit rien qu’à l’idée, il sentait déjà le sexe du blond en lui, il imaginait déjà la douleur, le plaisir qu’il allait ressentir, et il en gémissait d’avance.
Sa respiration était déjà courte et son cœur déjà emballé.
La main de Gustav alla se poser sur son entrejambe, juste pour vérifier que Tom en avait autant envie que lui, et d’après ce qu’il venait de sentir, c’était le cas.
Il retira alors le tee-shirt humide de Tom, huma son odeur une ou peut-être deux fois, par grandes bouffées, pour bien s’imprégner de l’odeur de son amant. Il admira les courbes fines qui s’offraient à lui.
Tom avait par réflexe les jambes écartées, ses fesses étaient légèrement en arrière et son visage était toujours collé au mur.
Les doigts agiles du batteur glissaient toujours sur le corps poisseux de Tom, y retraçant des courbes invisibles, y dessinant des motifs que lui seul voyait. Le dreadé en avait la chair de poule, sentir le souffle chaud du blond partout sur lui, d’abord dans sa nuque, sur son visage, dans son dos, et enfin au niveau de ses reins, où le blond s’attarda de longues minutes, y posant le bout de son nez pour caresser ce point qu’il savait sensible.
Quelques secondes plus tard, le pantalon de Tom était à ses pieds, rejoint de près par son caleçon, le souffle du blond toujours dans son dos, mais cette fois-ci s’aventurant quelques centimètres plus bas.
Tom se cambra un peu plus, si bien que le batteur se retrouva le visage entre les fesses de son amant. Amant qui souffrait de plus de plus de l’absence d’action de son partenaire, il avait envie de le sentir en lui, qu’il le baise à sec s’il le fallait, il en avait tellement envie. Mais il ne disait rien, il ne se plaignait pas de son érection douloureuse, il ne le suppliait pas, il savait qu’il n’avait aucun pouvoir, il savait qu’il était totalement soumis, comme à chaque fois, il savait que quoi qu’il fasse ça ne changerait rien, peut-être même que s’il parlait, ça allait être pire, il pourrait se retrouver seul, obligé de se finir tout seul. Mais ça n’arriverait pas, Gustav était en manque, il avait envie, il testait ses propres limites, il s’attendait à recevoir d’un instant à l’autre un coup de rein violent. Il en frissonnait d’avance. Son corps n’attendait que ça.
Un coup de langue, rapide, comme une illusion, d’ailleurs Tom mit quelques secondes à réaliser qu’il venait bien de se faire lécher la fesse.
- C’est cette goutte … Je l’ai suivie depuis la nuque, je l’ai vue glisser lentement le long de ton corps, je l’ai regardée me narguer mais là, je n’ai pas pu me retenir, elle était si tentante …
Tom sourit mais ne dit rien. Se sentir aussi désirable, savoir que chaque parcelle de son corps pouvait être excitante que même une chose aussi répugnante qu’une goutte de sueur pouvait mettre quelqu’un dans un état pareil, le rendait fier.
Un autre coup de langue, cette fois-ci plus long, plus poussé, plus intime aussi, plus audacieux, une langue qui s’immisce entre ses deux fesses, qui titille son anneau de chair, qui y dépose le plus de salive possible, salive qui coule le long de ses testicules, avant de glisser le long de sa cuisse droite.
Un premier coup. Violent. Tom n’avait rien vu venir, il n’avait même pas vu Gustav se déshabiller. La douleur était immense, ses entrailles étaient comme déchirées comme lacérées, il s’y attendait, mais il n’avait pas pu se préparer. Une larme dévala sa joue, sans qu’il ne puisse rien y faire, il ne voulait pas pleurer, pas devant lui, pas dans un moment pareil mais son corps avait parlé pour lui. Il essaya de l’essuyer discrètement mais Gustav la vit et l’aspira d’un baiser sur la joue.
Un deuxième coup, encore plus sec que le premier, le bassin de Tom claqua contre le mur, les larmes ne coulaient plus mais la douleur était toujours là, atténuée par le baiser que le lui donnait son amant.
Leurs souffles étaient courts, le sexe de Tom, de plus en plus douloureux, non seulement par son érection mais aussi parce qu’il était compressé contre le mur. La bouche ouverte, la bave au coin de la lèvre.
Tom gémissait, le plaisir avait enfin pris le dessus sur la douleur, bien que son corps claquait contre le mur à chaque entrée. Le batteur était aussi pris dans son plaisir, le corps du guitariste était si étroit, si chaud, mais il n’en oubliait pas pour autant son plaisir, sa main agrippa le sexe de Tom pour le branler vigoureusement, il rejeta sa tête contre l’épaule de Gustav, pour crier son plaisir encore plus fort. Il ne savait même pas s’ils étaient seuls, mais ça lui importait peu, à cet instant la fin du monde aurait pu arriver, qu’il n’aurait rien remarqué.
Les sensations affluaient de partout, la bouche de son amant partout sur son visage, ses mains sur son sexe, et son sexe en lui, ç’en était trop pour Tom qui se libéra contre le mur en un râle rauque, suivi quelques va-et-vient après par Gustav.
- Tu sais ce que j’aime encore plus que ton odeur en sortant de la musculation ?
Tom ne savait pas s’il devait répondre ou pas, encore trop perdu dans son plaisir, sentant en lui le sexe de Gustav débander.
- C’est ton odeur après l’amour, c’est voir ton corps couvert de gouttelettes de sueur, savoir que c’est moi qui ai provoqué tout ça, que c’est le fruit de mon travail. C’est le mélange de nos deux odeurs qui me rend fou … totalement fou … fou de toi… Ca me donnerait presque envie de recommencer, mais les autres ne vont pas tarder.
Il déposa un dernier baiser sur mes lèvres et partit dans sa chambre prendre une douche dans sa salle de bain privée. Et moi dans la mienne. Sur mon visage, on pouvait voir un sourire satisfait et mon esprit était encore embrumé, il était encore en moi, je sentais encore ses va-et-vient, sa respiration, ses mains sur moi, je ne sentais même pas le sperme couler le long de mes cuisses.
Il était quinze heure, les autres étaient revenus, Bill me montrait ses nouvelles fringues en essayant de me convaincre que j’avais raté un truc avec mon sport. Qu’il a repéré des sacs poubelles qui seraient parfaits pour moi. Mais je ne l’écoutais pas, j’avais le regard fixé sur le mur, sur une petite tache blanche en plein milieu du mur, juste à côté de la porte. Jamais elle ne partirait et j’espérais que personne ne la remarquerait.
- Tomi, tu ne m’écoutes pas, je le sais, qu’est-ce que tu regardes ? Depuis quand la porte est si intéressante ? T’attends quelqu’un ?
Sujet: PWP : Attraction Animal (TUS => tom/gustav) 
Jeu 26 Mar - 2:00
